Elodie Piec, 35 ans, habite à Bully depuis une dizaine d’années.
Après avoir embrassé une carrière d’assistante de gestion et de travail en qualité sécurité environnement, elle a décidé de prendre une pause pour réfléchir : « J’ai jugé bon d’arrêter mon emploi car je ne m’y retrouvais plus. Je sentais qu’il était temps de changer de voie ». Un choix mûrement réfléchi, puisqu’elle avait déjà commencé en parallèle une formation de Coach en Santé Globale. Une formation qu’Elodie définit comme « un chemin sur soi. Elle me permet d’aborder la vitalité, l’énergie, la gestion des émotions et du stress… De la vie en général, finalement ». Avec une volonté farouche de partager ses connaissances. Si le métier de Coach en Santé Globale n’est pas reconnu, la formation qu’elle suit lui permet d’apprendre à aider les autres. En complément, Elodie est également devenue Educatrice Menstruelle. Là encore, c’est son vécu personnel qui l’a poussée à franchir le pas : « en 2019, j’ai appris que j’avais un syndrome prémenstruel qui provoquait chez moi de la fatigue, de l’irritabilité, pouvant aller jusqu’à de la dépression » elle s’est naturellement rapprochée de l’association « Kiffe ton cycle », qui traite sur ce sujet. Elle en est désormais une ambassadrice concernée. Forte de ces nouvelles compétences, Elodie souhaite avant tout apporter un soutien personnalisé pour un bien-être complet. Elle cherche à apporter le ‘’comment faire’’ adapté à chacun.
Un suivi à moyen et long terme
La première séance sert de diagnostic : « Je pose énormément de questions durant cette séance, sur le corps, la peau, les cycles pour les femmes. Je m’intéresse à tous les plans, puisque je fais aussi passer un ‘’test’’ pour connaître le niveau de stress ». Suite à cette première séance, la coach établit un planning sur mesure, basé sur la relaxation ou la méditation. Mais la séance ne s’arrête pas une fois la porte du cabinet fermée : « Je donne une liste de choses à faire pour la séance suivante. Ce ne sont qu’une ou deux petites actions, mais cela permet au client de réinvestir ce qu’il a vécu au cabinet, seul, chez lui ». L’objectif est bien de donner des outils pour permettre à chacun de trouver le bien-être intérieur. Elodie estime qu’il faut au minimum aborder un cycle de 5 séances : « après, tout dépend de l’objectif, cela peut prendre plus de temps. Je conseille aux client.e.s des rendez-vous tous les quinze jours ou une fois par mois, au minimum. »
Interventions extérieures
En plus de recevoir dans son cabinet, la jeune femme n’hésite pas à proposer des prestations extérieures : « Je m’investis dans les salons de bien-être par exemple, depuis quelques semaines, j’interviens dans le centre de remise en forme Curves de Liévin ».
Une appellation qui prend tout son sens
Mais alors, pourquoi avoir nommé son activité « Le Déclic d’Elodie » ? « C’est un mot qui est souvent revenu durant mon parcours, sourit l’intéressée. C’est aussi le nom de la formation que j’ai suivi. Enfin, je trouve que c’est un mot simple, qui parle à tout le monde. Quand les gens viennent me voir, c’est qu’ils sont prêts, ce qui est une première forme de déclic ! »
Facebook : Le Déclic d’Elodie
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